PRÉFACE, PAR AHMED MASSAIA, EX-DIRECTEUR DE L’INSTITUT SUPÉRIEUR D’ART DRAMATIQUE ET D’ANIMATION CULTURELLE (ISADAC)
« Quand il fallait choisir un journaliste pour la couverture médiatique du périple de l’Odyssée, faisant partie de la presse embarquée, j’ai tout de suite pensé à mon ami M’Hamed Hamrouch. Non seulement pour ses compétences professionnelles, mais aussi et surtout pour son sérieux, sa droiture et sa persévérance à toute épreuve. Car l’enjeu était de taille. En tant que membre du comité de pilotage, il fallait à tout prix réussir cette belle aventure. Il fallait à tout prix convaincre. Il fallait supporter les conditions draconiennes qu’offrait le Constanta, un destroyer de guerre datant de la deuxième guerre mondiale, mis gracieusement à notre disposition par la Marine Roumaine.
L’Odyssée est une belle aventure partagée par de nombreux artistes et intellectuels venus de plusieurs pays du pourtour méditerranéen, portés par l’envie et l’enthousiasme à toute épreuve du plus fou des saltimbanques: Richard Martin, le maître d’œuvre de cette belle aventure emportée par les voiles de la musique, du théâtre et des «mots qui sont plus forts que les canons», selon l’incommensurable troubadour des mots: Gaston Baty.
Cette belle aventure, on peut désormais la vivre avec de nombreux lecteurs à travers ces carnets de voyage des trois éditions de l’Odyssée moderne des saltimbanques. 2001, 2003 et 2007 pour une belle croisière sur le beau Danube bleu de Strauss. Ces feuillets jetés au gré du vent sont l’exacte mesure de la passion froufroutante d’une plume tremblotante généreusement tenue par notre ami M’Hamed Hamrouch.
RENDEZ-VOUS DEMAIN MATIN À LA PREMIÈRE HEURE AVEC LE PREMIER ÉPISODE DE CETTE AVENTURE ATYPIQUE.