Le Collimateur, comme tous les journaux électroniques du monde, « booste » ses publications sur les réseaux sociaux, notamment Facebook et Instagram, pour en élargir l’audience. C’est légitime!
Grande a été notre surprise ce matin de constater que notre « compte publicitaire » sur Facebook a été désactivé pour motif d’ « activité suspecte ».
Il est clair que Le Collimateur, qui dérange beaucoup certains milieux algériens, ne s’est jamais inscrit dans une activité suspecte, illicite ou illégale. Il assume une ligne éditoriale professionnelle, sérieuse crédible et aussi nourrie de patriotisme.
Le Collimateur ne fait qu’exercer sa liberté d’expression responsable, basée sur l’information vérifiée, l’analyse et le commentaire.
Ces milieux qui veulent empêcher notre journal de faire la promotion de ses publications sont à l’origine de ce « signalement » inadmissible.
De plus, il y a déjà plusieurs jours, ils ont mobilisé tous leurs relais de « doubabs électroniques » pour déverser sur nous des torrents d’insultes et de grossièretés qui constituent leur marque de fabrique.
Il est donc évident que nos éclairages sur le régime anachronique algérien ont atteint leur but. Sa tentative de museler à l’international Le Collimateur est une nouvelle preuve qui montre son mépris et sa haine pour les principes et valeurs de liberté et de démocratie, devenus indépassables dans le monde d’aujourd’hui.
Leurs tentatives seront vouées à l’échec. Rien ne changera nos convictions et notre ligne éditoriale d’autant plus que nous n’ inventons rien et nous travaillons sur des faits.
Nous tenons toujours à rester conformes aux règles du respect de soi, de la dignité et de la courtoisie… contrairement à ces organes de presse algériens, de nature véritablement douteuse, qui sont dans l’hostilité permanente, l’infamie, l’outrage, l’ignominie et la vile grossièreté quand il s’agit du Maroc et ses enfants.
Ce régime doit comprendre que la presse internationale n’est ni sous sa tutelle, ni sous son contrôle.
Nous expliquerons à l’administration de Facebook le contexte de ce « signalement » inique et la nature d’un régime pour qui le musellement de la presse est une seconde nature. Mais aspirer à le faire aussi à l’international est à la fois absurde et aberrant.
Le Collimateur