Vidéo. L’Institut du Caire pour les Droits de l’Homme interpelle l’ONU sur la stratégie de terreur orchestrée par la junte algérienne pour étouffer les manifestations pacifiques

« Le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies doit pas abandonner les Algériens qui luttent alors que les autorités utilisent des accusations de « terrorisme » pour étouffer les manifestations pacifiques et la société civile« , appelle l’Institut du Caire pour les droits de l’Homme, dans message posté sur son compte twitter (voir vidéo ci-dessous).

 

 

 

 

« Nous exigeons la libération des journalistes et des défenseurs des droits de l’homme détenus sur des accusations vagues et sans fondement« , a demandé le CIHRS, qui jouit d’un statut consultatif auprès de l’ECOSOC (Conseil Economique et Social des Nations Unies) et la Commission Africaine des droits de l’Homme et des peuples.

Fondé en 1994 au Caire, le CIHRS travaille sur la promotion du respect des valeurs et des principes des droits de l’Homme et de la démocratie dans toute la région MENA (Moyen-Orient-Afrique du Nord).

L’appel du CIHRS intervient alors que le Conseil des droits de l’homme de l’ONU tient 49è session à Genève. Lors de cette session, la délégation algérienne tente de détourner l’attention la répression féroce des meneurs du hirak algérien pacifique, qui revendiquent pour la troisième années consécutive l’instauration d’un État réellement civil et démocratique, en tentant de créer de fausses polémiques creuses, de surcroît creuses et ridicules, au sujet de prétendues « violations » au Sahara marocain.