Brahim Ghali, le président de la république de Tindouf, voyage avec un passeport algérien, détient une carte d’identité espagnole, circule avec quatre noms différents et il est né deux fois en 1948 et 1949

L’enquête judiciaire menée par la justice espagnole sur l’affaire Mohamed Benbattouche continue de délivrer son lot de secrets. Le commissariat général à l’information de la police a révélé un autre secret sur le président de la république de Tindouf qui voyage avec un passeport algérien. Dans une lettre adressée à l’Audience nationale, la plus haute juridiction d’Espagne, la police indique que Brahim Ghali dispose d’une carte d’identité délivrée par l’Etat espagnol en Janvier 2006 et renouvelée le 30 juin 2016.

Le chef des séparatistes avait un document d’identité quand il est arrivé en catimini en Espagne mais la police confirme qu’il a été admis dans l’hôpital de Logroño sous une fausse identité en l’occurrence Mohamed Benbattouche. Cette correspondance révèle que Brahim est un spécialiste de la falsification des pièces d’identité.

C’est ainsi qu’on découvre dans la carte qui lui a été délivrée le 7 décembre 1999 qu’il s’appelle Brahim Ghali Moustafa, né le 16 août 1949. Dans l’autre document qui lui a été délivré le 31 janvier 2006, et renouvelé le 30 juin 2016 à Talavera de la Reina, il se dénomme Ghali Sidi Mohamed Adbelyelil, né le 18 août 1948.

C’est dire que le chef de la bande des séparatistes dispose de quatre documents d’identité qui lui ont été délivrés à Alger, à Madrid et à Talavera de la Reina sans oublier qu’il est né deux fois, soit le 18 août 1948 et le 16 août 1949.

Si cela ne vous rappelle rien, ce sont les méthodes qu’emploient les grands criminels de droit commun et de génocide pour fuir la police et la justice. Le tortionnaire en chef du polisario n’a rien à leur envier puisqu’il est poursuivi par la justice espagnole pour génocide, assassinat, viol et crime contre l’humanité.