Ghali-Gate. Le scénario de la pseudo-« comparution » se confirme: ni détention préventive ni retrait du passeport…

Sans surprise, le juge d’instruction près l’Audience nationale, Santiago Pedraz Gomez, n’a pas ordonné la détention préventive ni même le retrait du passeport du chef des milices séparatistes, suite à la première comparution de ce dernier pour répondre d’accusations pourtant graves, notamment les crimes génocidaires.

« Brahim Ghali jouira d’une liberté de mouvement absolue à sa sortie de l’hôpital de Logroño où il est admis en convalescence de Covid depuis le 18 avril dernier », confirme notre confrère espagnol « La Razon ». 

Le magistrat s’est contenté de demander à l’accusé de fournir – comme le parquet l’avait demandé – une adresse et un numéro de téléphone en Espagne pour le localiser », rapporte notre confrère espagnol, ajoutant que « le numéro de télé sera vraisemblablement celui de son avocat ».