L’agence officielle espagnole, se basant sur des sources juridiques, a rapporté que le juge de l’Audience nationale Santiago Pedraz a refusé d’adopter des mesures restrictives à l’encontre de Brahim Ghali, à savoir le retrait du passeport ou l’interdiction de sortie du territoire espagnol.
Cette décision du magistrat intervient, d’après « EFE », « sur fond de crise migratoire, traduite par l’entrée, à Sebta, d’environ 6 000 migrants ».
En refusant d’imposer « des mesures contraignantes » à l’encontre du chef des milices séparatistes, poursuivi notamment pour des « crimes génocidaires », le juge d’instruction près l’Audience nationale invite ce dernier à fuir… impunément.