**Silence et consternation de l’Europe
Les pays européens gardent un silence officiel, mais plusieurs sources expriment leur consternation devant l’amateurisme du gouvernement espagnol. Il est tombé, pieds et poings liés, dans le piège que lui a tendu le calamiteux régime algérien…
Au mépris de la légalité et des décisions de la justice espagnole, le gouvernement Sanchez a hospitalisé en Espagne – en toute connaissance de cause – sous un faux nom… avec un passeport trafiqué… un supposé président d’une prétendue république… que l’Espagne ne reconnaît pas. Le bonhomme est aussi un « client » très connu de la justice espagnole… qui le recherche pour viols et actes de tortures. La totale !!
Il n’y avait personne du côté espagnol pour scruter et examiner à fond ce qui s’est révélé être un « traquenard algérien », enveloppé dans un humanisme de façade. L’Allemagne a senti la combine et a dit « Non merci ! Pas de Benbattouch chez moi ! ».
**Collusion dangereuse et risquée avec les généraux algériens
Le gouvernement espagnol a aussi et peut-être vu un « joli coup » pour plaire à Podemos et ses électeurs… pour consolider sa collusion anti-marocaine avec les généraux algériens… et aussi pour narguer ce Maroc, dynamique et alerte, qui marque des points pour son intégrité territoriale et pour son développement socioéconomique.
Tout cela gêne l’Espagne dont le double langage est aujourd’hui identifié.
Les méthodes méprisables de la prétendue diplomatie algérienne sont connues. Une relation au monde faite de coups tordus… de non-respect des engagements… d’attitudes traitresses… de mensonge, de manipulation, d’intox, de chantage, de menace, de subornation… Le Maroc, la France, le Mali, le Niger, la Tunisie, la Mauritanie, l’Égypte, la Libye… subissent en permanence ces pratiques.
Une diplomatie au service exclusif de la continuation et de la « survie » d’un régime illégitime. Il crée partout des crises pour imposer l’idée que l’Algérie est « menacée » cherchant l’union sacrée du peuple autour de lui… Mais ça ne marche plus !
C’est cette dangereuse école qui a piégé le gouvernement espagnol qui n’a rien vu venir ! L’objectif des généraux n’est pas la santé de Brahim Ghali… mais essentiellement provoquer une grave tension entre Rabat et Madrid. Ils s’en régalent aujourd’hui !
Pour sa crédibilité… et au-delà de réflexes post-coloniaux malheureusement toujours vivaces… l’Espagne n’a pas du tout vocation à s’aligner sur les méprisables méthodes d’une dictature militaire dont les jours sont comptés. C’est une très mauvaise école !