« Des parlementaires algériens, issus des deux chambres, ont adressé une lettre au nouveau président américain Joe Biden au sujet de la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental », rapporte l’APS.
Paraît-il, il va falloir en penser quelque chose. Or, rien. À part que l’agence de PRESQUE algérienne a oublié de préciser que ce « parlement » est trafiqué, ses membres n’ayant jamais été élus… mais nommés par les généraux…
Elle aurait dû préciser aussi que cette « lettre » invitant un président démocrate à revoir la décision de reconnaître la marocanité du Sahara, a été rédigée plutôt sous la dictée des généraux qui utilisent ce parlement de façade pour continuer de confisquer la volonté d’un peuple frère, lequel ne peut essuyer indéfiniment l’affront et l’humiliation d’une fausse représentation.
Usurpant la volonté populaire, ce pseudo-« parlement » se ridiculise davantage en croyant pouvoir induire en erreur le président de la plus grande démocratie au monde sur la réalité du conflit créé autour du Sahara marocain.
Dans sa lettre bidon, le simulacre de parlement a en effet passé à la trappe le fait avéré que c’est le Maroc qui, au nom de son intégrité territoriale, a inscrit à l’ONU son Sahara comme un zone à libérer du colonialisme espagnol.
Les pseudo partis archaïques, fabriqués par les généraux et les soit-disant élus de ce parlement trafiqué n’ont absolument aucune crédibilité.
Ils auraient dû imposer aux généraux une commission d’enquête pour établir la vérité sur la décennie noire lors de laquelle les généraux ont massacré 200. 000 Algériens.
Et aussi établir la vérité sur l’assassinat de Boudiaf… les Moines de Tibherine… et le massacre de In Amenas fomenté par les services algériens.
La junte faillie ne sait plus quoi faire face à ses échecs.
La Junte qui prétend mobiliser un parlement de façade pour « influencer » Biden vient d’être sévèrement rappelée à l’ordre par un collectif de partis politiques algériens crédibles (mais combattus)… qui dénoncent la volonté des généraux d’aller vers des élections législatives et locales « sans le peuple ». Contre le peuple, pour être précis.
Ce régime illégitime dont le seul projet est de nuire au Maroc est complètement inaudible. La communauté internationale est excédée par ce grave dérèglement du pouvoir algérien.