ACTUALITÉPOLITOSCOPE

La bonne nouvelle tant attendue est arrivée! Un projet de loi américain dans le pipe pour inscrire le « polisario » sur la liste noire des organisations terroristes

« Je présenterai un projet de loi visant à désigner le « polisario » comme terroriste », a dévoilé vendredi le congressman américain Joe Wilson.

« Je suis d’accord avec le Secrétaire d’Etat Marco Rubio: une véritable autonomie sous souveraineté marocaine est la seule solution envisageable pour le Sahara. Je présenterai un projet de loi visant à désigner le « polisario » comme terroriste », a annoncé le Représentant américain. « L’Iran et Poutine s’implantent en Afrique via le « polisario. Reliez les points: axe d’agression », a-t-il pointé. 

 

Qu’Alger et son proxy terroriste séparatiste ne s’y trompent donc pas: Ce n’est pas un « effet d’annonce », encore moins un effet de manche, Joe Wilson, proche du président Donald Trump, est sérieux et est au bien au fait de la menace que représentent les entités terroristes et le « polisario » en particulier. Cette milice, qui est abritée, financée et armée par la junte algérienne, s’est bel et bien convertie à l’activité terroriste. Au-delà de la gouvernance de la population séquestrée par la terreur, l’intimidation et la répression au quotidien, avec la bénédiction d’Alger qui lui a délégué la gestion des camps qui rappellent cruellement les goulags staliniens de sinistre mémoire, la compromission du « polisario » avec ls groupes jihadistes s’activant dans la région sahélo-saharienne, notamment « l’Etat islamique dans Grand Sahara » (EIGS, antenne sahélienne de « Daech » fondée par un ex-milicien du « polisario », Adnane Abou Walid al-Sahraouie, nom de guerre de Lehbib Ould Ali Ould Saïd Ould Joumani), n’est plus à démontrer.

La milice terroriste séparatiste est aussi (et surtout) entraînée et formée par le Hezbollah, bras armé de l’Iran au Sud Liban, lequel est déjà inscrit sur la liste américaine des organisations terroristes, au même titre que les Houtis (« Ansar Allah ») au Yémen. Le 1er mai 2018, le Maroc avait rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran après avoir établi la preuve de son implication, avec la complicité et le financement d’Alger, dans l’entraînement des miliciens de Tindouf aux nouvelles techniques de guérilla, y compris la « guerre des tranchées ».

Au-delà du soutien technique et logistique au « polisario », l’Iran avait aussi fourni à ce dernier des drones, entre autres létales. « Les drones iraniens sont désormais déployés en Afrique du Nord et constituent une menace directe pour le Maroc », avait alerté l’expert américain en Affaires stratégiques, Llewellyn King, dans un article publié, vendredi 10 mars 2023, dans le magazine espagnol « Atalayar », rappelant que le Maroc a, à plusieurs reprises, avait attiré l’attention sur la menace que représentent les ventes de drones iraniens à l’Algérie, et de fait à la milice du « polisario ».

Le rôle déstabilisateur de l’Iran en Afrique du Nord avait été, aussi, mis en évidence par le centre de réflexion American Foreign Policy Council, dont le vice-président senior Ilan Berman a déclaré que « les Iraniens étaient connus pour être le principal État soutenant le terrorisme dans le monde, et qu’ils s’installent maintenant en Afrique, augmentant la capacité de leurs groupes mandataires ».

 

 

 

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page
Soyez le premier à lire nos articles en activant les notifications ! Activer Non Merci