Une cacophonie, voire un chaos vestimentaire! Tel a été le constat qui s’est dégagé de la prière d’Aid El-Fitr accomplie mercredi à « Djamaâ el Djazaïr » par les officiels algériens, à leur tête le président Abdelmajid Tebboune. Selham royal, burnous des Spahis, Jellaba, Qamis et Jabador marocains, Jubba turques, Chapan afghan, costumes cravates… On aura tout vu !
🔴Le président Tebboune accomplit la prière de l’Aid el fitr à la Grande Mosquée d’Alger. pic.twitter.com/toOObYqbg1
— TSA Algérie (@TSAlgerie) April 10, 2024
L’absence de code vestimentaire chez le voisin de l’est démontre, à qui veut bien voir encore, un trouble d’identité. Un trouble que les médias et le pouvoir algériens tentent misérablement de dissimuler à travers cette tentative d’usurpation d’éléments constitutifs du patrimoine culturel et civilisationnel marocain (architecture, musique, gastronomie, et j’en oublie).
Pour conclure, quoi de mieux que de reprendre ce proverbe français en vogue: « D’habits d’autrui on s’honore mal ».