Si des secteurs de l’économie nationale souffrent de la pandémie de coronavirus, la culture déjà fragile en pâtit encore plus. La fermeture des salles de spectacles, l’annulation des tournées de chanteurs et celles des troupes théâtrales, la mise à l’arrêt des tournages des productions artistiques, pour ne citer que ces activités, ont engendré un chômage de la quasi-totalité des intervenants dans ce secteur.
Les personnes vivant du secteur de la culture dans son aspect moderne ou traditionnel se sont retrouvés au chômage, sans activités, sans revenus et surtout sans soutien mais avec des charges, des traites, des dettes à honorer et une indifférence à supporter.
Un artiste, un peintre, un technicien du son, un acteur, un figurant ou encore un musicien de salles de fêtes est un citoyen qui a également besoin de soutien dans ces moments de crise.
Le gouvernement sait que la culture est en crise au Maroc mais ne fait pas assez pour venir en aide à ce secteur et à ses professionnels qui souffrent de chômage actuellement .