TEBBOUNE: LE CHEF D’ORCHESTRE ENCHANTÉ DU TITANIC

Le génial président algérien a rejeté le recours à la planche à billets et à l’endettement international pour faire face à la chute brutale des revenus de son pays mono-exportateur d’énergies fossiles. Il a proposé un bricolage de garanties pour siphonner l’argent du secteur informel… Une fausse bonne idée qui ne marchera pas, méfiance et défiance règnent dans cette dictature.

Le régime algérien depuis le sinistre Boumediene a toujours privilégié l’ « économie du pompage »… Vendre ce qui est enfoui dans le sol depuis des millions d’années… et en « manger » les revenus par l’import/import. Toute la nomenclature importatrice y trouve son compte.

Aucune démarche sérieuse pour investir et créer un tissu économique productif… et surtout mettre les Algériens au travail.

Au pays des fanfarons, Bouteflika le propagandiste haineux et maître des formules creuses, ne cessait de répéter: « Nous avons des moyens colossaux et nous pouvons organiser DEUX COUPES DU MONDE ». Il voulait anesthésier le peuple algérien et impressionner la communauté internationale avec un challenge ridicule.

Mais le président Tebboune a encore mieux fait dans cette course des déclarations absurdes. Il a dit hier texto selon l’APS :

« Lorsqu’on emprunte auprès de banques étrangères, on ne peut parler ni de la Palestine ni du Sahara Occidental. Il s’agit là d’une question de souveraineté nationale ».

Mettre sur le même plan « Palestine » et « Sahara » est une escroquerie intellectuelle qui a déjà été balayée par la Communauté Internationale.

Il associe la souveraineté à ces slogans stériles et périmés sur la Palestine et le Sahara… alors que même cette souveraineté est toute relative… Le fonctionnement du pays dépend du « prix du baril » décidé ailleurs… et surtout pas à Alger.

Le fait de « PARLER » de la Palestine et du Sahara constitue pour lui l’essentiel et le principal … tout le reste étant secondaire y compris cette récession annoncée en Algérie de près de -5,5%.

Enfin, il insulte aussi l’intelligence du management et les conseils d’administration de la Banque Mondiale et du FMI en les traitant quasiment de « colonisateurs ».

Un chef d’État ne peut parler comme ça !

Avec un président comme Tebboune, qui considère la « parlotte » sur le Sahara comme le projet prioritaire pour la dictature algérienne… le Maroc n’a pas de grands soucis à se faire.