COUP DUR POUR L’ALGÉRIE ET SON REJETON SÉPARATISTE. ARRESTATION DU PRÉSIDENT PÉRUVIEN PEDRO CASTILLO, APRÈS UNE TENTATIVE AVORTÉE D’AUTO-COUP D’ÉTAT (VIDÉO)

Coup de tonnerre au Pérou: le dictateur Pedro Castillo, investi à peine une année et demie en tant que président, a été arrêté mercredi 7 décembre, après avoir tenté un auto-coup d’État. La décision d’arrestation de ce président marxiste-léniniste a été prise conjointement par la police et l’armée péruvienne.

Une première vidéo diffusée par les médias péruviens, montre le petit « Caudillo » le visage défait, dans un commissariat de police de la capitale Lima. Une autre vidéo donne à voir des citoyens massés devant l’ambassade de Mexico pour empêcher une éventuelle évasion du président putschiste.

 

 

Cette arrestation est survenue suite à un message télévisé du président controversé, annonçant la dissolution du parlement et l’instauration de « l’état d’exception » au Pérou.

 

 

Faisant l’objet d’une procédure de destitution de la part du parlement pour cause de corruption, Pedro Castillo a tenté en vain un coup de force contre l’ordre constitutionnel. Il a été destitué aussitôt après cette tentative. La vice-présidente Dina Baluarte a été investie par le Congrès nouvelle présidente de la république du Pérou. 

Réactivation de la reconnaissance de la pseudo-« rasd », l’erreur grossière de Pedro Castillo

Après son désaveu de la pseudo »rasd » le 28 juillet 2022, Pedro contredira Castillo pour décréter le 18 août 2022, la réactivation de la reconnaissance de cette entité fantoche, provoquant un vif tollé au sein du parlement péruvien.

« Nous savons tous que cette « république sahraouie », c’est 40 tentes en Algérie et qu’elle n’est pas reconnue par l’ONU, ni par aucun pays arabe. Pour quelle raison le Pérou doit-il reconnaître 40 tentes? », s’est interrogée la présidente du Congrès péruvien, María del Carmen Alva Prieto, fin septembre dernier.

 

 

La sortie de Mme Alva Prieto, membre du parti libéral Action populaire (centre droit), est intervenue sur fond de levée de boucliers chez les députés péruviens contre la décision du président « rouge », accusé de sacrifier les relations d’amitié avec le Maroc, sur l’autel de considérations idéologiques utopiques, de surcroît éculées.