L’avocat Olivier Baratelli qui a été mandaté par le Maroc pour porter plainte en diffamation contre Forbbiden stories et Amnesty international a lancé une bombe sur le plateau de la chaine BMFTV. Une bombe qui risque de faire imploser ces deux associations, médiatique et de droits humains, qui ont accusé le Maroc d’avoir espionné les téléphones de plusieurs personnalités françaises.
Des accusations farfelues qui ont été relayées, en boucle, par ces mêmes medias français qui sont toujours prompts à exploiter l’information la plus banale pour fustiger le royaume de tous les maux. L’avocat Olivier Baratelli vient les clouer au pilori en affirmant sur le plateau du BFMTV : « je vous donne un scoop madame le Maroc n’a jamais eu de liens contractuels avec la société NSO qui est le fournisseur du logiciel Pegasus. Autant dire que le Maroc n’a jamais fait appel à la société NSO et n’a jamais utilisé ce logiciel ».
La messe est dite et Me Baratelli de marteler que les deux associations sont aujourd’hui au pied du mur. D’autant, ajoute-t-il, que la loi sur la liberté de la presse exige qu’elles fournissent les preuves de leurs accusations dans un délai de dix jour: « Le royaume du Maroc m’a chargé d’une réponse judiciaire, claire, limpide, directe et efficace pour contrecarrer ces rumeurs qui sont naturellement totalement infondées ».
Il est vraiment ubuesque d’imaginer que le Maroc puisse mettre sur écoute le téléphone du président de la république française, conclut l’avocat Olivier Bratelli. Alors a vos preuves messieurs les journalistes et les acteurs des droits de l’homme puisque vous vous êtes érigés en génie de la technologie informatique pour s’introduire dans un logiciel aussi complexe que Pegasus.