Au moment où le président de la Confédération africaine de football dénonçait, hier vendredi 13 janvier à Rabat, l’instrumentalisation du football à des fins politiques, Alger offrait une tribune au petit-fils de feu Nelson Mandela, Zwelivelile Mandela, pour attaquer le Maroc, qualifié de « pays d’occupation », en cultivant cyniquement l’amalgame entre la cause palestinienne et la supercherie « rasd », qui n’est rien d’autre que le faux-nez de la junte algérienne défaillante.
🇲🇦🇩🇿| Zwelivelile « Mandla » se lance dans un plaidoyer pro-Polisario sous les encouragements des 40,000 algériens présents au stade.
Une énième provocation haineuse de l’Algérie après avoir empêché les #AtlasLions, double tenants du titre, de participer au CHAN. pic.twitter.com/fAv7A5UAx0
— Morocco Intelligence (@MoroccoIntel) January 13, 2023
Notez bien que la harangue pro-séparatiste du petit-fils de Mandela a été servie lors de la cérémonie d’ouverture du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN-2022), qui s’est déroulée hier vendredi au tout nouveau stade d’Alger baptisé abusivement du nom du leader africain regretté Nelson Mandela.
Cet acte, copulé à l’exclusion délibérée de la Sélection marocaine du Football du CHAN-2022, constitue une violation flagrante de la Charte de la CAF et un défi personnel pour son président Patrice Motsepe qui, faut-il le rappeler encore une fois, s’est ouvertement dressé contre toute instrumentalisation du football à des fins politiciennes.
De M. Motsepe, nous attendons aujourd’hui bien plus que des paroles. Devant cette grave dérive algérienne, les actes seront plus parlants.