Le régime algérien s’englue de plus en plus dans la d’échéance morale. Au fil des jours, en multipliant les gaffes, il repousse les frontières de son isolement. Ces dernières positions relatives à la question palestinienne ont livré la preuve de son côté maître-chanteur dans les mauvais chantages. Ce qu’il entreprend vis-à-vis de l’Espagne sur le chapitre gazier y ajoute sur le plan régional. Et on passe sur son alignement à peine voilé sur Moscou dans sa guerre contre l’Ukraine qui le met davantage dans un mouchoir de poche, pour reprendre un terme du monde du football !
🇩🇿🌍| تصريحات مدرب المنتخب الجزائري، جمال بلماضي ..
أثارت موجة غضب عارمة ضده في الإعلام ووسائل التواصل في افريقيا وأوروبا.
— H A S S A N 🇲🇦 (@HMeghribi) April 27, 2022
Et voilà que la maladie du régime d’Alger se mue en pandémie localisée puisqu’elle vient de toucher la sphère footballistique.
Mécontents d’avoir raté le rendez-vous Qatari, les Algériens dégagent les signes du syndrome de la haine tout court.
Ça a commencé avec un certain Belmadi, entraîneur de son état des Fennecs, qui n’a pas trouvé mieux que de vomir des propos malveillants à l’endroit de l’arbitre Gassama. Belmadi a dit ne pas supporter de le voir dans un aéroport en train de boire un verre de lait et en mangeant un millefeuille ! S’il ne s’agit pas de propos sentant la haine et le racisme, on perdrait les repères langagiers pour lui trouver des excuses.
Un fait qui n’a pas manqué de provoquer des réactions de colère et de protestations dans plusieurs pays africains. Et on croit même savoir que que cela pourrait avoir des suites judiciaires.
Et ce n’est pas fini. Un responsable algérien a même cru opportun de « rappeller aux Camerounais les bienfaits d’Alger en faveur de leur pays « ! Sur quel rayon peut-on mettre ou trouver un tel rapprochement dans les relations diplomatiques ?
A ce rythme, on ne sait plus où finiraient les folies algériennes. Un pays qui se prend pour on ne sait qui ou quoi au point qu’on ne saurait plus le qualifier.