Je ne sais pas pourquoi, ces Lions de l’Atlas me renvoient à 2004. J’étais à Tunis. Sur invitation, il faut dire de Maroc Télécom. J’ai vécu tous les moments d’avant avec Zaki et ses enfants. On ne donnait pas un centime pour le parcours, mais avec un Naybet et les jeunes, on se disait qu’on pouvait y croire.
La finale arrive face aux Tunisiens, on n’y croyait pas vraiment. On perd deux buts à un. Il fallait prendre l’avion de retour. Pourtant, on était contents. En compagnie de plusieurs confrères, on chantait à la gloire des Lions de l’Atlas, dont Younes et Arazi, nos tennismen et Hicham El Guerrouj… Juste pour pour la mémoire !
Hakimi et les siens méritent.
Good wind !