Le chef d’état-major de l’armée nationale populaire (ANP), Saïd Chengriha, ne cesse de montrer qu’il est plutôt dépendant de sa sénilité que de sa sérénité. Celui qui dirige l’Algérie d’une main de fer est en fait un vieil homme affaibli physiquement et mentalement qui n’arrive plus à se contenir aussi bien dans le sens physiologique que psychique.
Au-delà de sa haine congénitale pour le Maroc, Chengriha déteste, aussi, les Algériens qu’ils soient civils ou militaires qu’il entasse chaque jour dans les prisons. Selon des sources bien informées, ils sont 32 généraux à croupir dans les geôles sans oublier les centaines de journalistes, défenseurs de droits de l’homme et autres influenceurs.
Le journaliste et opposant, Hichem Aboud, n’a eu de cesse de rappeler que l’homme qui commande l’Algérie a perdu la raison et qu’il risque de mener le pays vers une catastrophe. Il raconte que lors d’une réunion de l’état-major de l’armée algérienne, qui a eu lieu ses derniers jours, le général Chengriha a piqué une grosse colère et quitté la salle en vociférant et en proférant des propos injurieux. C‘est d’autant plus édifiant, ajoute-t-il, que la réunion qui était consacrée au… Maroc, s’est prolongée pendant deux heures en l’absence du chef d’état- major.