L’avocat qui représentera Brahim Ghali durant sa comparution par visioconférence mardi 1er juin 2021, n’a jamais caché son hostilité envers le Maroc, et la marocanité du Sahara en particulier. Manuel Ollé Sesé, puisque c’est de lui qu’il s’agit, s’est rendu à Tindouf en 2006, pour soi-disant recueillir des preuves à charge contre le Maroc, dans le cadre d’une plainte pour « génocide » et « tortures », prétendument commis à l’encontre de sahraouis lors des 16 ans de conflit armé.
Pénaliste et ex-président de l’association espagnole des droits humains, il est un défenseur de la compétence universelle, comme Santiago Pedraz, juge d’instruction près l’Audience nationale espagnole.
Ce pénalise qui possède depuis 1988 un cabinet d’avocats ayant pignon sur rue, à Madrid, est un « client » notoire du « polisario » et surtout du régime vert-kaki qui vont une fois de plus casser la tirelire du contribuable algérien, pour tenter de tirer d’affaire leur protégé Mohammed Benbattouche, alias Brahim Ghali.