« Des agents de la police nationale espagnole se sont déplacés mercredi 12 mai 2021, à l’hôpital de Logroño, à Saragosse, pour remettre au chef des milices séparatistes du « polisario » la convocation émise par le juge d’instruction près l’Audience nationale, Santiago Pedraz, afin qu’il comparaisse le 1er juin 2021 en tant que prévenu », annonce le quotidien espagnol « La Razón ».
Le dénommé Brahim Ghali quittera l’hôpital de Logroño le 20 mai courant, précise la même source, relevant que l’avocat d’El Fadel Breïka, blogueur sahraoui naturalisé espagnol qui a déposé plainte pour « détention illégale et torture », a exigé une série de garanties afin que le prévenu ne quitte pas le territoire national espagnol avant la date du 1er juin.
Jusqu’à présent, le juge Santiago Pedraz ne s’est pas prononcé sur les autres plaintes déposées par l’Association sahraouie des droits de l’homme (Asadeh) pour « Crimes génocidaires », « assassinats », « détentions illégales », « terrorisme », « torture » et « disparitions forcées », ni d’ailleurs sur celle de Khadijatou Mahmoud, violée sauvagement par le dénommé Brahim Ghali en 2010, au sein de la pseudo-« ambassade du polisario à Alger », sans parler des victimes canariennes du terrorisme du « polisario » organisés dans l’association « ACAVITE ».