
Mohamed Choubi a quitté ce monde dans la nuit de jeudi à vendredi à Rabat. Une disparition à laquelle l’artiste était peut-être préparé mais à laquelle « Allam Al Khayl » faisait face avec courage, devant laquelle il est resté digne jusqu’au dernier souffle.
La maladie n’a pas eu raison de sa passion, même affaibli, diminué, il continuait à répondre à l’appel.
On regrettera quand même le départ précoce de cet immense talent, parti à 62 ans. Choubi est parti trop tôt… Ses œuvres lui survivront certainement.
Au théâtre, Choubi a joué dans plusieurs pièces dont “Son et Lumière” de Tayeb Saddiki, “Siège” de Moulay Lahcen Idrissi, “Kharboucha” de Lahbib Lasfer et “La Porte close” de Youssef Fadel. Il a également mis en scène des œuvres théâtrales telles que “Improvisation”, “Hystérie”, “La ville et la mer” et “Les lettres de la paume”.
Choubi a aussi pris part à plusieurs séries et téléfilms, notamment “Mohamed El Hayani”, “La Poudre du diable”, “El Mejdoub”, “Allam El Khayl”, “Moul Lmlih” et “Hayna”. Choubi a aussi pris part à plusieurs séries et téléfilms, notamment “Mohamed El Hayani”, “La Poudre du diable”, “El Mejdoub”, “Allam El Khayl”, “Moul Lmlih” et “Hayna”.
Au cinéma, Choubi a tenu des rôles marquants dans de nombreux films à succès dont “Malak”, “Mort à vendre”, “Mille mois”, “Les Battements du destin”, “La Route des femmes”, “La Symphonie marocaine” et “L’Orchestre des aveugles”.
Autant de titres de gloire à l’armoirie d’un acteur qui était tant adulé à l’écran comme dans sa vie. Pétri de talent et de grandes qualités humaines. L’exemple de ce doit être un artiste.
Merci pour tout, Choubi, repose en paix.