Des simulacres d’élections présidentielles sont prévues à intervalles rapprochées en Algérie (7 septembre) et en Tunisie (6 octobre).
Dans les deux pays, tout semblait prêt pour que les deux « bouffons » rempilent pour un second mandat. Le «très indépendant candidat» Tebboune a le soutien de son copain (et coquin!) Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’ANP, pour se cramponner à son fauteuil présidentiel, alors que le despote de Carthage aura en face deux petits candidats qui ne font pas le poids.
Le maintien de Tebboune et de Kaies aux affaires n’augure rien de bon pour les peuples algérien et tunisien, il n’est qu’à regarder de près le « bilan » de leurs premiers mandats respectifs pour s’apercevoir qu’ils ont réussis les plus retentissants fiascos de l’histoire des ratages. En Algérie, Tebboune invoque les morts (Chouhadas) pour achever les vivants; en Tunisie, Saied, agite l’épouvantail islamiste pour garder les manettes d’un pays au bord de la faillite.
Zéro espoir pour l’Algérie qui, en dehors des hydrocarbures (98% des exportations et 60% des recettes de l’Etat en devises), ne produit que des bulles de savon, et pour une Tunisie complètement vassalisée à l’Algérie.