« Nous rêvons de nager un jour dans les côtes du Sahara occidental indépendant », a lâché l’ambassadeur du dictateur vénézuélien en Algérie, Nicolas Maduro, dans une interview au quotidien algérien « Echorouk » qu’on ne vous présente plus tellement il est obséquieusement inféodé au régime vert-kaki.
José De Jésus Sojo Reyes, pour ne pas le nommer, vient de dire tout haut ce que l’oligarchie militaire algérienne a toujours pensé tout bas: trouver un débouché sur l’Atlantique!!
Relevée dans la bouche du représentant du satrape de Caracas, banni par la communauté internationale, au profit de Juan Guaido, représentant légitime des revendications démocratiques du peuple vénézuélien frère, ce rêve qu’il a exprimé tout en étant éveillé a le mérite de nous montrer le vrai visage hideux des deux dictatures vénézuéliennes et algériennes, pour ne pas parler du régime sud-africain corrompu. Ces États-voyous n’ont jamais réellement pensé à la population séquestrée dans les hamadas de Tindouf, victime de la plus grosse escroquerie qu’ai jamais connue l’histoire des conflits.
À l’ambassadeur de la dictateur défaillante du Venezuela et à celle incarnée par la « Issaba » terrée comme des rats au Club des Pins, à Alger, que peut-on alors dire: s’il est permis de rêver, faites attention à ce que vos rêves ne se transforment en cauchemar.
Les vagues de l’Atlantique sont assez hautes pour vos petites manigances ridicules.
