Abou Dhabi a beau l’ignorer, Alger revient toujours à la charge. Après la « terview » pétaradante et infructueuse d’Abdelmajid Tebboune le 3 avril 2024 où, à l’instar des mégères effarouchées, il s’était répandu en imprécations contre les Emirats arabes unis, voilà le comparse Brahim Ghali donner la réplique en puisant dans lexique victimaire coutumier farci aux menaces phonétiques et grotesques. En cause, le soutien prétendument militaire apporté par les Emirats au Maroc.
🇦🇪🇪🇭🇩🇿 Le Président de la Milice Séparatiste Polisario a reçu le feu vert d’Alger pour attaquer les Emirats concernant leur soutien au Royaume chérifien dans le dossier du Sahara Occidental. Cette sortie médiatique ne restera pas sans conséquences pour l’Algérie. @skynewsarabia pic.twitter.com/0MEhvZ62Kt
— 19Expo (@19expoo) May 5, 2024
« Les Emirats, malheureusement, est un petit pays, loin géographiquement de l’Afrique du Nord. Un petit peuple qui devait être sensible à toute agression à l’encontre d’un autre peuple car il pourrait s’exposer, un jour ou l’autre, à la même chose », a-t-il aboyé, sans mesurer le ridicule dont il s’est couvert en se lançant dans des comparaisons absurdes et ridicules. Il faut vraiment être un cinglé fini pour tenter un parallèle entre les Emirats Arabes Unis, puissance politique, économique et militaire connue et reconnue à l’échelle mondiale, et l’Algérie, cette « fArce de frappe régionale » pour pasticher « Tonton Tebboune »…
Il est vrai que le ridicule n’a jamais tué personne, si tel était le cas, Alger et Rabouni seraient sûrement jonchés de cadavres.