Amar Bendjama a passé très mal son baptême de feu d’ambassadeur d’Alger à l’ONU, après une traversée de désert qui a duré 7 ans, -depuis 2016, année à laquelle il a été relevé brutalement de ses fonctions d’ambassadeur de la junte en France. Il a été littéralement humilié par notre ambassadeur Omar Hilale, devant le Comité des 24 de l’ONU, qui tient ses travaux à New York.
Intervenant devant le C 24, le dénommé Bendjama a voulu titiller M. Hilale sur le faux-vrai principe d’ »autodétermination », thèse éculée, de surcroît stérile, à laquelle la junte algérienne reste inutilement cramponnée.
Le représentant permanent du Maroc à l @ONU_fr donne une leçon magistrale à son homologue all_j’ai-rien 🇩🇿 en matière de la notion de l’autodétermination en droit international et lui rappelle que l’interprétation algérienne s’appliquerait parfaitement au cas de la Kabylie pic.twitter.com/rNuG3SBHlk
— Mundo sin Filtros (@FiltrosMundo) June 15, 2023
« Si on suit le principe d’autodétermination qui est défendu par l’Algérie, le monde n’aurait pas 193 Etats mais 600 pays. Et l’Algérie ne serait pas un seul pays, elle serait trois Algéries », a rétorqué M. Hilale, le ton incisif et décapant. « On ne peut revendiquer l’autodétermination pour les uns et la refuser pour les autres », a enfoncé l’ambassadeur marocain, en démasquant devant ses camarades du C 24 les véritables visées du régime des caporaux finissant, qui rêve tout haut d’avoir un accès à l’Atlantique.
