GHALI-GATE. LA RÉVÉLATION CHOC DE CHEMA GIL, EXPERT INTERNATIONAL EN SÉCURITÉ ET TERRORISME. 

« Le gouvernement et le bureau du procureur général de l’État tourneront le dos -une fois de plus- aux centaines de victimes canariennes du terrorisme du polisario et n’entameront aucune action devant la Haute cour nationale contre Brahim Ghali », dévoile José María Gil Garre (Chema Gil), citant « un haut fonctionnaire de l’État ».

« Il n’est plus nécessaire de faire quoi que ce soit maintenant contre Brahim Ghali pour les victimes du terrorisme du Polisario, m’a dit un haut fonctionnaire », écrit sur son compte twitter, cet expert en sécurité et terrorisme.

« Le fait qu’ils ne veulent pas se souvenir de 300 victimes (kidnappées, assassinées, disparues, mutilées …) signifie qu’en tant qu’électeur je ne reconnais plus le parti pour lequel j’ai voté », a-t-il asséné, en allusion au Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) qui dirige l’actuelle coalition gouvernementale.

Chema Gil, auteur du livre « Ce que le front polisario cache », est co-directeur de l’Observatoire international de la sécurité. Il développe son activité professionnelle en tant que coordinateur des opérations du service d’urgence de la mairie de San Javier, Région de Murcie. Il est diplômé en gestion de la sécurité et en études internationales sur le terrorisme de la Chaire Unesco et a étudié différentes spécialisations universitaires, telles que les services de renseignement et de sécurité et les sciences islamiques.

En 2020, il a reçu « la croix honorifique de mérite policier avec distinction blanche ». 

Auteur du livre « Ce que cache le polisario » sorti le 27 octobre 2010, il est placé dans le Collimateur des services algéro-séparatistes. « Aujourd’hui, un abruti – en particulier un connard – s’exprimant au nom du polisario a dit qu’ils allaient m’égorger. Je vous ai dit qu’il leur manquait des couteaux », a-t-il martelé, sur son compte twitter.