González Laya-Sabri Boukadoum: Rira bien qui rira le dernier!

Une double claque en moins de 48 heures pour González Laya et Sabri Boukadoum, scénaristes de la tristement célèbre telenovela « Ghali-Gate« , appellation accolée au scandale de l’accueil frauduleux, en Espagne, du chef des milices séparatistes, Mohamed Benbattouche, alias Brahim Ghali.

 

 

 

 

Cette affaire abracadabrantesque a coûté leurs postes à ces avatars de ministres rompus aux « affaires étranges »,  dont les noms resteront à jamais liés à l’un des pires scandales d’État: faux, usage de faux, complicité de faux et d’usage de faux au profit d’un sombre individu comptable de crimes contre l’humanité (actes génocidaires, tortures, séquestration, viols en série, etc).

Le coup de balai qui leur a été donné aura certainement réconforté les familles des victimes tragiques du dénommé Brahim Ghali, qui devra désormais réfléchir mille fois avant de se hasarder hors de sa tanière tindoufienne où il est obligé de se terrer sous peine de se faire arrêter.

L’affaire n’a pas encore livré tous ses secrets et l’enquête ouverte par la justice de Saragosse promet d’autres « belles » surprises au binôme Laya-Boukadoum, dont la complicité criminelle n’est plus à démontrer.