Il coche les cases de la marocophobie: ce maire gaucho de l’Ile-Saint-Denis qui veut censurer un hymne à la marocanité du Sahara

Le 1er août 2024, lors d’un concert animé par Saïda Charaf dans le cadre de la Journée du Maroc organisée dans la fan zone de l’Ile-Saint-Denis, il est monté sur scène enfilant hypocritement un T-shirt rouge et vert pour annoncer, quel culot !, la fermeture du stand Maroc ! Motif invoqué ?

 

Une phrase: «Le Sahara occidental est marocain, merci président» scandée par l’artiste marocaine, au lendemain de l’annonce de la décision de la France soutenant la souveraineté du Maroc sur son Sahara, consignée dans un message adressé par le Président de la République M. Emmanuel Macron à SM le Roi Mohammed VI.

 

Mais ce n’est pas de cet œil que cette décision actée par la plus haute autorité constitutionnelle de France a été reçu par le désormais tristement célèbre Mohamed Lamine Gnabaly, maire franco-sénégalais de la petite commune insulaire de la région parisienne, issu des«Ecolos» et donc d’une certaine gauche radicale ridicule et décrédibilisée.

Mais passons, car M. Ganabaly ne semblerait pas vivre que de paroles vertes et … d’eau fraîche!!! Il suffit de consulter sa bio du coin de l’œil pour se rendre compte qu’il est  marié à … une Algérienne.

Cherchez la femme et surtout pour quelle partie elle roule … 

L’arrogance stupide

Malgré son impair politiquement déplacé, et socialement dangereusement ostracisant, le maire en question a demandé des « excuses officielles » pour avoir été hué par une partie du public lors du concert. Il s’est alors fendu d’un communiqué où il dit « qu’à aucun moment, les représentants officiels présents ne sont intervenus, ni pendant ni après le concert (pour) s’excuser de la situation ». « Aucune excuse du consulat ou de la demande n’a été formulée auprès de la mairie dans les 36 heures qui ont suivi l’événement », a-t-il larmoyé.

Or voilà la réponse du Consulat marocain: Mohamed Gnabaly a «introduit une dimension politique inappropriée (…) En prenant des mesures pour censurer et stigmatiser les opinions d’une artiste, le maire a instrumentalisé un événement qui devait être centré sur la célébration sportive et culturelle», estime le consulat, à juste titre.

En un mot comme en mille, le maire « Vert » a manqué une réelle occasion de se taire.