José Manuel Albares a confirmé lundi sa reconduction à la tête de la diplomatie espagnole. « Un honneur de continuer en tant que ministre des Affaires étrangères, de l’UE et de la Coopération. Merci monsieur le président du gouvernement, Pedro Sánchez, pour la confiance. Nous continuerons à travailler pour le leadership international de l’Espagne, en faisant progresser l’UE pendant la présidence espagnole du Conseil de l’Union européenne en 2023, en protégeant les Espagnols à l’étranger », a-t-il tweeté.
Un honor continuar como ministro de Asuntos Exteriores, UE y Cooperación. Gracias PG @sanchezcastejon por la confianza.
Seguiremos trabajando por el liderazgo internacional de España, haciendo avanzar la UE durante Presidencia @eu2023es y protegiendo a españoles en el exterior.
— José Manuel Albares (@jmalbares) November 20, 2023
Major de l’école américaine à Tanger à l’âge de 14 ans, José Manuel Albares est un grand ami du Maroc. Nommé le 12 juillet 2021, en remplacement de la sinistre González Laya, ami de la milice séparatiste à la solde d’Alger, il a co-réussi avec son homologue Nasser Bourita à remettre sur les rails les relations entre Madrid et Rabat, jusqu’alors affectée par l’attitude cavalière de sa prédecesseure basque, dont les connexions avec la milice séparatiste à la solde d’Alger n’étaient plus à démontrer.
Sous la première mandature de Manuel Albares, les relarions entre les des royaumes voisins ont connu une embellie diplomatique dont l’expression la plus forte est la reconnaissance par Madrid de la marocnaité du Sahara.
Outre José Manuel Albares, Pedro Sánchez a maintenu à leurs postes deux grands amis du Maroc: Fernando Grande-Marlaska (Intérieur) et Luis Planas (Agriculture).
En somme, un signal très positif envoyé par Pedro Sánchez à l’endroit du Maroc qui le lui rendra bien.