La folie meurtrière commise mardi 29 août par les garde-côtes algériens à l’encontre de vacanciers marocains, près de la station balnéaire de Saïdia, a eu un écho au Royaume-Uni.
La junte algérienne semble ne pas avoir mesuré les conséquences du crime abominable et lâche commis mardi 29 août par ses garde-côtes à l’encontre de vacanciers, près de la station balnéaire de Saïdia. Outre les répercussions juridiques (enquête judiciaire ouverte à Oujda et Paris), médiatiques comme en témoigne le large écho fait par les principaux titres internationaux et la vive indignation provoquée dans l’opinion publique internationale, la junte algérienne, à l’origine de cet acte odieux, un premier indice sur le début d’une action « diplomatique » internationale est apparu.
C’est en tout cas ce que laisse entrevoir cette note d’alerte adressée par le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth (Foreign Office), avertissant ses ressortissants désireux de se rendre au Maroc d’ »éviter les eaux maritimes algériennes » et de « rester clairement dans les eaux territoriales marocaines ».
Plus qu’un simple « conseil aux voyageurs à l’étranger », une pique plantée subtilement par le gouvernement britannique à tous les G.G (Cf: généraux grabataires) qui président aux sombres destinées de l’Algérie, et dont le pedigree surpasserait ceux des pires dictatures dans l’échelle de l’horreur et des massacres.