Mercredi 12 avril, un pseudo-« militant pro-sahraoui » espagnol a tenté de parasiter un meeting de Pedro Sánchez, qui était en campagne à Burgos, nord-ouest d’Espagne, pour les élections municipales du 28 mai prochain. Il s’est levé dès que M. Sanchez a entamé son discours, pour tenter de brandir le fanion de l’entité séparatiste « rasd ».
Un activista, expulsado del mitin de Pedro Sánchez en Burgos por exhibir la bandera del Sahara https://t.co/SkbZWKxNsP pic.twitter.com/DyqNJy2txD
— El Correo de Burgos (@correodeburgos) April 12, 2023
La tentative du nervi pro-séparatiste est tombée à l’eau grâce à la vigilance des agents censés sécuriser le meeting électoral de M. Sanchez. Mais elle en cacherait bien d’autres, les services algériens et leurs sous-fifres séparatistes semblent bien décidés à se venger du Pati socialiste ouvrier espagnol, au pouvoir, pour son rapprochement de Rabat, notamment sur la question du Sahara marocain.
L’incident qui s’est produit avant-hier est donc loin d’être anodin. Il s’inscrit dans un vaste plan algéro-séparatiste pour tenter de discréditer le parti de Pedro Sanchez et, par ricochet, servir la soupe à son rival, le Parti populaire de Alberto Núñez Feijóo, réputé être pro-algérien.