Nouveau blocage de la nomination d’un Algérien comme émissaire de l’ONU pour la Libye. Le régime des caporaux n’a jamais voulu « LIBYEN » à son voisinage!

C’est le deuxième rejet en moins de deux ans de la nomination d’un Algérien au poste d’émissaire de l’ONU pour la Libye. Après le mémorable veto opposé par les États-Unis d’Amérique en avril 2020 à la nomination de Ramtane Lamamra, c’est au tour des Émirats Arabes Unis de sortir le carton rouge contre Sabri Boukadoum, ex-ministre algérien de « l’Ingérence »!

L’État des Émirats Arabes Unis, qui a entamé en janvier dernier un mandat de deux ans en tant que membre du Conseil de sécurité de l’ONU, a expliqué cette décision par « l’opposition des pays arabes et des parties libyennes » à la nomination de l’ex-responsable algérien.

Il y a une « préoccupation régionale » à l’égard de la nomination de Sabri Boukadoum, a indiqué un diplomate sous le sceau de l’anonymat, en soulignant que « le choix d’un ressortissant d’un pays frontalier de la Libye pose problème ». « Son travail serait « impossible », a conclu cette source.

Ce nouveau rejet dénote une réprobation internationale des activités interlopes de la dictature militaire algérienne, qui s’est alliée aux Mollahs iraniens pour déstabiliser la région.