Le « polisario » suspend ses « relations » avec l’Espagne. On croit rêver.

Approchez, Mesdames et Messieurs: Entrée libre pour un numéro de franche rigolade. Il vient d’être servi ce soir à grand coup de klaxons et de castagnettes par le « polisario », faux-nez du régime des caporaux finissant. Tenez, l’Algérisario a « suspendu ses relations avec l’actuel gouvernement espagnol ».

Si, mais si, Madame, la nouvelle n’est pas tombée du ciel mais sur le fil de la « SPS » et elle a été relayée à grand roulement de tambours par sa consoeur l’APS, avec toute la gravité et le sérieux de la situation.

Quoi? Une entité fantoche, à la solde du régime Mickey, se frotte à l’Espagne, un pays souverain, membre de l’Union européenne, de l’OTAN, de l’ONU… On croit rêver!

Franchement, ce « polisario » a du front tout le tour de la tête, autant que son parrain algérien qui lui a certainement soufflé l’idée d’une « décision » tout ce qu’il y a de comique, de cocasse, d’absurde, j’en passe et des meilleurs.

On ne savait pas que le « polisario » entretenait des « relations » avec un État souverain comme l’Espagne qui, à l’instar de tous les États européens, pour rester uniquement dans la sphère européenne, ne reconnaît pas cette entité sortie droit du film d’animation « Comics and Cartoons »! Elle n’a alors qu’à retirer ses soi-disant « représentants » à Madrid, Valence, Barcelone… où ils  vivent aux frais du contribuable espagnol, pour ne pas parler de la charité business.  

Une chose reste sûre: cette « décision » annonce la fin de l’animation cirque devenue, à la fin des fins, lassante, fastidieuse et ridicule.

De quel nom cet ultime numéro est-il donc le nom? Diagnostic sans appel: le « polisario » est en train de livrer son ultime danse macabre. La danse du coq égorgé.

Nos condoléances les plus sincères et les plus attristées à l’oligarchie militaro-politc(h)ienne algérienne qui n’a plus de choix en dehors de celui de faire le deuil de son rejeton, qu’elle a l’obligation morale d’enterrer dans la dignité, si ce mot a encore un sens pour les 400 généraux séniles, qui arpentent la dernière marche du podium… du ridicule.