CACHEZ-MOI CES IMAGES QUE (JE) NE SAURAIS VOIR!!!

N’en déplaise à Tebboune et Chengriha, le match Maroc-Algérie, s’est déroulé dans une ambiance amicale, chaleureuse et confraternelle (Voir vidéo ci-contre).

 

 

 

 

Le fair-play a été le vrai vainqueur de ce match qui fait honneur au Maghreb et à tous les autres pays arabes, tellement la qualité (et la propreté) du jeu était au rendez-vous.

 

 

 

 

 

Or, ce n’est pas de cet oeil lucide que le raïs et compagnie auront vu ce match. À peine l’arbitre eût-il sifflé la fin de la séance des tirs aux buts, hier soir au Stade Al Thumama, au Qatar, qu’un curieux tweet fuse du compte FB de la présidence algérienne. Tenez, « 1 million et demi de mabrouk à nos champions »!, a klaxonné le locataire du palais Mouradia, qui s’est découvert un étrange don pour « la récupération de ballon ».

 

 

Autre champion de la récupération et de la « rente mémorielle », pour reprendre une formule du président Macron, le chef du gouvernement à coloration vert-kaki, Aïmene Benabderrahmane. « Vous avez revivifié notre mémoire« , a-t-il tweeté, à l’annonce de la victoire des Fennecs qui coïnciderait avec le 61ème anniversaire du déclenchement des manifestations pour l’indépendance de l’Algérie, le 11 décembre 1960.

 

 

 

 

Le chef d’état-major de l’armée algérienne, le sinistre Saïd Chengriha, n’a pas manqué cette occasion pour « crier victoire » à son tour. « Le chef d’état-major de l’armée nationale populaire félicite l’équipe nationale de football pour sa victoire« , a youyouté le ministère algérien de la défense.

Il est vrai que le Maroc n’a pas été cité nommément par les trois mousquetaires, il n’en reste pas moins que leurs tweets puent leur haine viscérale envers le Maroc… pour ne pas parler de la France.

Pour les témoignages de fraternité manifestés sur le terrain de jeu, dans les gradins ou même dans les rues, notamment cette magnifique accolade donnée par le Fennec Youcef Belaïli  au Lion de l’Atlas Mohamed Nahiri, les marchands de haine ont préféré regarder ailleurs.

Pathétique!