Après la huée des médias français et de leurs amplificateurs étatiques, associatifs et individuels sur la pseudo-affaire d’espionnage attribuée Maroc, les « Pegasusiens » se sont terrés dans un silence lâche. Et pour cause, ils n’ont pas pu fournir des preuves pour étayer les allégations qu’ils ont proférées, à hue et à dia, contre les services de renseignement marocains.
L’avocat du Maroc, Olivier Baratelli, vient de leur porter l’estocade en affirmant que le délai de 10 jours que la loi leur accorde pour fournir des preuves est expiré. Autant dire, affirme l’avocat à la chaine d’info en continu Cnews, qu’il s’agit d’une supercherie fomentée par Forbidden stories et Amnesty international pour ternir l’image du Maroc.
Pegasus. L’avocat du #Maroc Maitre Olivier Baratelli, confirme l’incapacité après le délai fixé de 10 jours de @FbdnStories et de @amnesty à produire des preuves. pic.twitter.com/iMnhlwMwpd
— Soukara (@al3ayta) August 4, 2021
Où est donc passé ce fameux laboratoire de cette organisation (dans le sens négatif du terme) qui a certifié que les téléphones des personnalités françaises étaient espionnés par le Maroc ? Pourquoi ses génies d’informaticiens n’ont pas donné le moindre indice de preuves quinze jours après avoir remué ciel et terre pour accuser et condamner le Maroc d’avoir utilisé le logiciel Pegasus ?
L’avocat du Maroc signe et persiste en affirmant que le Maroc ne possède pas ce logiciel et qu’il continuera à poursuivre en justice tous ceux qui accusent le Maroc. Ou est passé Mediapart, le Monde et les autres médias français qui depuis des années, sautent sur la moindre occasion pour tirer à bout portant sur le Maroc avec… des armes qui s’avèrent toujours enrayées ou contenant des balles à blanc?