VIDÉO. UN EX-MEMBRE DU FLN AVOUE ET CRACHE LE MORCEAU. « LA QUESTION DU SAHARA EST NOTRE PROPRE AFFAIRE ».

** Les vannes pour justifier l’aventurisme algérien sont ouvertes.

Abdelaziz Belaid, ex membre du FLN et  » leader » d’un soit-disant parti politique « Front El Moustaqbal », créé en 2012 par l’oligarchie militaire, a craché le morceau.

Toutes les vannes sont désormais ouvertes par un régime sonné. Il n’y a plus de retenue. Abdelaziz Belaid, pion des galonnés, s’est lâché:

** « Les Marocains disent que l’affaire du Sahara est algérienne. Oui, je le confirme. Oui, l’affaire est celle de l’Algérie. Oui, c’est l’affaire de l’Algérie. Nombreux chez nous sont honteux de le dire et le proclamer. Ils répètent que l’affaire c’est celle du peuple sahraoui. Non, c’est notre affaire. Oui, la question du Sahara est une affaire algérienne ».

 

 

Une sacrée fuite en avant !!

Abdelaziz Belaid , né en 1963 – qui avait 12 ans lors de la Glorieuse Marche Verte – représente aussi ces générations algériennes élevées et éduqués par un système éducatif dans la haine et la détestation absolues du Maroc.

Le Maroc, soutenu par la Communauté internationale, ne fait que défendre son intégrité territoriale. Il a marqué des points irréversibles contre l’aventurisme du régime algérien…

Ce dernier est estomaqué et déboussolé par les dernières résolutions de l’ONU, le rétablissement de l’ordre à El Guergarat et la multiplicité des ouvertures des Consulats Généraux à Laâyoune et Dakhla.

Fulminant de rage, il a donné l’ordre à ses pions pour « gueuler » que l’affaire est algérienne… pour s’auto-convaincre de son propre délire.

** Le polisario « caca nerveux » de Boumediene.

L’ hystérie de cette oligarchie malade et dérangée est SURTOUT LA PREUVE qu’il n’y a ni peuple sahraoui, ni sidi zekri.

Il y a tout simplement un « caca nerveux » de Boumediene… un « truc » appelé « polisario » créé en 1975… qu’il a abrité, financé et armé… pour affaiblir et dépecer le Maroc. Un projet séparatiste anti-marocain mort-né !

L’Algérie a hérité de cette idée suicidaire de Boukharrouba… pour laquelle elle a sacrifié son propre développement… et qui, aujourd’hui, est la cause de tous ses soucis et son discrédit !