SOUS 50 DEGRÉS À L’OMBRE, EN PROIE À LA SOIF ET À LA FAUCHEUSE (COVID)… L’AFFREUX DESTIN DES « RÉFUGIÉS » DE LAHMADA

Un malheur ne vient jamais seul. En proie à la Covid qui fait des ravages dans les camps d’infortune (4 nouveaux cas confirmés de coronavirus, selon un site de propagande séparatiste), à la pénurie d’eau et à la déshydratation, les suppliciés de Lahmada ne sont pas au bout de leurs peines.

Le mercure frôle les 52 degrés à l’ombre dans les camps où sont délaissés à leur sort les 20.000 séquestrés, pendant que leurs matons et leurs familles privilégiées se rafraîchissent dans les foyers et bureaux climatisés, à Rabouni, QG du front du Mal, le « polisario ».

Il y a parmi ces damnés des enfants dont le seul « crime » est d’être né là où il ne fait bon naître. L’Unicef a-t-elle pensé à délivrer ces bouts de chair des mâchoires d’une mafia dont les pratiques surpasseraient en cruauté celles de la tristement célèbre époque stalinienne? Ces enfants et leurs géniteurs pourront-ils accepter, au nom du pseudo-« droit à l’autodétermination », d’être privés du droit suprême, à la vie, pour ne pas parler du droit à la liberté d’expression et d’opinion… ?

L’ONU manque-t-elle de courage pour dire ses quatre vérités aux voleurs du lait des nourrissons et à leur sponsor vert-kaki, lui-même illégitime aux yeux de son peuple et du droit international?

Une chose est sûre: l’ONU ne peut plus se taire sur cette tragédie qui se déroule à huis clos sans se voir imputer le forfait de « non-assistance à population en danger ».