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Edito – Le Maroc sur les rails de l’avenir…

Par: Zakia Laaroussi 

Lorsqu’une nation choisit de forger sa grandeur à la sueur de ses enfants, et que la vision royale s’engage sur la voie de l’ambition, l’impossible ne devient qu’une simple halte sur le chemin. Le Maroc ne possède ni puits de pétrole ni rivières de gaz, mais il détient un trésor infiniment plus précieux : un Roi visionnaire, un peuple vaillant, et une patrie qui ne se satisfait que de l’excellence.

Le Boraq marocain n’est pas un train comme les autres ; c’est un manifeste roulant, un symbole flamboyant qui proclame haut et fort que la réussite ne s’achète pas avec du pétrole, mais se construit avec de l’intelligence, de l’audace et de la constance. Tandis que nos trains à grande vitesse relient les métropoles marocaines et contractent le temps, le voisin de l’est, malgré ses richesses souterraines et ses hydrocarbures apparents, demeure enlisé dans des projets fictifs et prisonnier de conflits imaginaires.

Comme le dit si bien le proverbe : « Celui qui a des hommes n’a pas besoin d’or ». Ainsi est le Maroc : il a misé sur ses bras, investi dans ses cerveaux, ouvert des routes sur les dunes et posé des rails sur les défis. Le voisin, quant à lui, malgré ses ressources inépuisables, ressasse des discours creux, brandit des slogans mensongers et s’abîme dans ses illusions.

« Nul ne vous jalouse si ce n’est l’impuissant », dit un autre adage. Et c’est exactement ce qu’on observe : à chaque prouesse marocaine, les regards se froncent, les voix s’aigrissent, et l’envie ronge ceux qui restent à la traîne. La différence entre nous ne réside pas seulement dans la vitesse, mais dans la volonté, la vision et la sincérité de l’intention.

Le Maroc n’a pas parié sur le hasard, mais sur une stratégie royale méticuleusement conçue. Des perspectives à long terme, des feuilles de route lucides, et des projets titanesques qui traduisent les rêves en réalisations. Tandis que nous relions Tanger à Casablanca par un train fulgurant, le voisin n’arrive toujours qu’à nouer des promesses au vent.

« Le bon marin ne sombre pas, s’il sait tenir la barre ». Et le Maroc aujourd’hui tient fermement le gouvernail du développement, tandis que d’autres nagent en rond dans des contradictions stériles, engloutis dans un océan d’opportunités gâchées.

C’est cela, le Maroc d’aujourd’hui : capitale émergente de l’Afrique, marchant à pas assurés, à la vitesse du Boraq, dans le silence des bâtisseurs. Il ne se retourne pas, il ne s’attarde pas aux cris des envieux. Ici, un Roi guide, un peuple avance, et des institutions édifient. Ici, la grandeur s’écrit sur des rails… tandis que d’autres, spectateurs impuissants, contemplent depuis le quai, les yeux noyés dans la fumée et le cœur serré par la rancœur.

Le Maroc poursuit, pas après pas, ses avancées fulgurantes, pendant que le voisin oriental s’essouffle à gonfler son ballon de gaz, espérant voler sans ailes.

Le Boraq marocain a devancé le temps, a dépassé le rêve, et a laissé loin derrière des voisins qui comptent encore les cailloux au bord de la route. Le Maroc ne regarde pas en arrière, ne gaspille pas son souffle en comparaisons stériles. Il agit, il avance, il mène.

Le Maroc est un Boraq… les autres s’enlisent dans la poursuite.

Que Dieu préserve ce Royaume et son Souverain, et que la roue du progrès continue de tourner à la vitesse du Boraq.

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