L’Armée Nationale Libyenne marche sur la frontière algérienne. La baudruche Tebboune se dégonfle lamentablement

La 128è Brigade de l’Armée Nationale Libyenne (ANL) a pris le contrôle de la partie libyenne de la « Passe du Salvador », tripoint frontalier stratégique situé entre Mourzouk, ville du sud-ouest libyen, «Djenat», wilaya du sud-est algérien, et Agadez, importante ville du Nord du Niger.

Les première images mises en ligne par l’Armée Nationale Libyenne illustrent cette percée au cœur de ce carrefour stratégique transformé, avec la complicité criminelle des services algériens, en base de repli pour les groupes terroristes s’activant dans la région sahélo-saharienne et en plaque tournantes pour les trafics de toutes sortes (armes, drogues, entre autres produits de contrebande).

 

 

On y voit des éléments de l’armée de l’homme fort de l’Est libyen, le maréchal Haftar, célébrer, par la prière, leur arrivée face à un poste frontière algérien complètement déserté. Pas l’ombre d’un seul garde-frontière de la pourtant très volubile «fArce de frappe algérienne». Pas un poil d’information sur les sites de propagande algériens, d’habitude très loquaces quand il s’agit de distiller leur venin sur le Maroc.

 

 

Seulement quelque «doubab» électronique s’est manifesté sur les réseaux sociaux pour appeler à ne pas répondre aux «provocations» de l’Armée Nationale Libyenne, notamment à une image devenu virale montrant un soldat libyen pointer son arme sur le nom de l’Algérie inscrit sur une borne frontalière.

 

 

Ironie du sort, cette percée libyenne intervient au surlendemain du pétard mouillé lancé, dimanche à Constante, par le président Tebboune, alléguant que l’armée algérienne était prête à sauver les Palestiniens si l’Egypte ouvrait son poste frontière «Rafah» avec Gaza.