Par Naamane Ghizlane
Trente mille enfants ont été massacrés en Palestine, depuis l’attaque militaire israélienne menée contre Gaza, d’après le journal français Libération, un chiffre qui a fait récemment la « une » de ce journal.
De même, il y a cinq jours, le Pentagone a donné un chiffre de vingt cinq mille enfants et femmes tués à Gaza, depuis le 7 Octobre.
Ma plume qui est censée être mon épée, comme a dit « Jean Paul Sartre », abdique rien qu’à l’écriture de ces chiffres choquants, à renverser les cœurs les plus solides.
Hamas-Israël, cette guerre cruelle, sans fin, semble s’étendre et se gâter de pis en pis, s’étale encore à la veille du mois sacré de Ramadan, un mois qui incite à la paix, à la solidarité et à la spiritualité.
L’humanité n’a t’elle pas commis assez de crimes politiques jusqu’à ce jour?
N’y a-t-il que les armes et les attaques destructives pour gérer un conflit ?
Où sont donc la tolérance, l’indulgence, la communication et le dialogue qu’on nous enseigne durant toute une vie?
Des enfants meurent tous les jours, un pays anéanti, des familles détruites, laissant place à la famine et aux maladies qui s’installent de manière abrupte.
Le fléau de la guerre a fait son effet et l’impact de ce désastre impitoyable et irréparable s’inscrira de nouveau dans l’histoire de l’humanité comme un crime des plus graves, dont le monde entier est témoin.
De ce flagrant délit résulte un sérieux traumatisme causé, en premier lieu aux enfants, à la jeunesse, à toute la population palestinienne et par conséquent au reste du monde entier.
C’est épouvantable les images véhiculées des ruines d’une ville éteinte, qui dégagent l’odeur de la mort, une ville aux couleurs ternes de la violence et de l’injustice. Ce tableau cauchemardesque, qui retrace une population épuisée suite aux attaques répétitives, sans précédent.
Peu importe les raisons de ce drame, peu importe les responsables de cette situation mais on ne peut infliger à nulle personne autant de malheurs, de désastres et de catastrophes, encore moins à tout un pays, une situation tant pénible pour ce malheureux peuple sans défense.
Que Dieu assiste le peuple palestinien dans son malheur !
