On attendait de « l’Union générale des étudiants de Tunisie » un communiqué de dénonciation du coup de force du satrape de Carthage, Kaïs Saïed. Et comme par enchantement, on a eu droit à un communiqué de soutien au pseudo-« mouvement estudiantin au Sahara occidental » qui « lutte pour le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination »!!!
Il n’est pas besoin d’être devin pour savoir qui tire les ficelles de cette nouvelle affaire cousue de fil blanc, pas plus d’ailleurs que ce ridicule accueil dont a été gratifié le chef de la milice séparatiste à la solde d’Alger, Brahim Ghali, le 28 août 2022, de la part du président fantoche de la Tunisie, devenue un Etat vassal, voire une simple wilaya algérienne. La contrepartie était un nouveau prêt financier de 200 millions d’euros d’Alger au « Titanic Tunisie » aujourd’hui plus que jamais au bord du naufrage.
Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon, les rues de Tunis et d’Alger seraient jonchées de cadavres.