Affaire Bouraoui: quand le satrape de Tunis lâche ses larbins sur le Maroc!

« Le Maroc est notre plus grand ennemi. Regardez ce qu’ils nous ont fait dans le phosphate, le tourisme », a lâché (voir vidéo ci-contre) ce larbin du raïs tunisien, Kaïs Saïed, sur fond de crise entre Alger et Tunis, suite à l’ex-filtration via la Tunisie de la militante franco-algérienne Amira Bouraoui, lundi 6 février 2023.

 

 

Question à mille piges: y a-t-il un lien entre « le phosphate et le tourisme » et une affaire de barbouzerie dont les protagonistes sont plutôt français, algériens et tunisiens?

A l’évidence, aucun. Pourquoi cet énergumène se répand-il alors en imprécations contre le Maroc?

Il n’y a qu’une seule explication à cela: Kaïs Saïed a peur des irascibles généraux grabataires. Et pour conjurer leur colère, il semble avoir trouvé la parade: flatter les « G.G » dans le sens de la marocophobie.

Risible parade pour cette Tunisie devenue, sous la triste mandature de l’ex-« instit' », une 49è circonscription algérienne!

En effet, depuis l’arrivée de Kaïs Saïed le 23 octobre 2019, « la Tunisie n’a plus aucune souveraineté économique ni politique, elle ne compte que sur l’Algérie et l’aide du FMI pour tenter de survivre », certifie le journaliste algérien Abdou Semmar!

 

 

Pour se maintenir au pouvoir, Kaïs Saïed sait désormais ce qu’il doit faire: obéir au doigt et à l’oeil au régime des caporaux finissant. Il n’y a pas pire insulte pour le peuple tunisien, dont la souveraineté et la dignité sont en jeu.