« C’est le régime marocain qui cause des problèmes, pas le peuple marocain dont 80 000 ressortissants vivent en Algérie en bonne intelligence ». Tel a été le propos d’Abdelmajid Tebboune qui s’exprimait à tort et à travers dans une interview au quotidien français « Le Figaro », au sujet de la crise de l’Algérie avec le Maroc.
Une réponse clivante, de surcroît venimeuse, de la part du président désigné, lequel a tenté sournoisement d’opposer le peuple marocain et son institution monarchique. Une telle réponse pue l’ingérence flagrante et l’irresponsabilité pathétique d’un régime impopulaire, en rupture de ban avec ses citoyens, mais aussi avec les pays de son voisinage.
La sortie du « raïs » dénote le profond désarroi d’un régime affreusement jaloux de la parfaite symbiose entre le Roi Mohammed VI et son peuple fidèle, attachés l’un à l’autre par des liens d’allégeance et d’affection solides.