Les généraux grabataires croyaient pouvoir se servir de la cause palestinienne pour servir leur agenda résolument anti-marocain. Il en ont pris pour leur grade, comme en témoigne cette double claque retentissante qu’ils ont essuyée à intervalles rapprochés.
La première remonte au samedi 16 avril 2022, quand leur ambassadeur à l’ONU a tenté misérablement de s’opposer à une référence au Maroc, dans une Déclaration du Groupe arabe à New York, condamnant l’attaque israélienne contre les lieux saints à Al-Qods. Il a été sèchement éconduit; quand même, on ne se frotte pas au Royaume du Maroc dont le Roi préside le Comité Al-Qods et finance à 86% l’agence Bayt Mal Al-Qods…
La deuxième claque a été infligée à l’impénitent régime voisin ce jeudi même, à Amman, par le Comité ministériel arabe chargé de l’action internationale face aux politiques et mesures israéliennes illégales à Al Qods occupée. La référence au Maroc a été maintenue dans la Déclaration d’Amman tout comme d’ailleurs celle de New York, alors qu’une stupide proposition algérienne d’inclure le nom du « raïs » ubuesque Tebboune, a été simplement ignorée.
Une cause si noble que celle de la Palestine ne se prête pas au jeu malsain d’Alger, encore moins à ses manipulations grossières.