Vidéo-Diapo. Du combat en cage au combat de rue au commissariat de police… l’insoutenable dérive du nervis Zakaria Moumni 

La nouvelle s’est répandue comme un feu de pré ce dimanche 31 juillet. L’arrestation hier du boxeur et néanmoins maître-chanteur Zakaria Moumni, après avoir agressé des Marocains (le youTubeur Touhfa et 2 femmes!!!) à l’occasion d’un rassemblement pour la fête du Trône…

Selon des bruits de couloir, la police montréalaise serait intervenue pour interpeller le champion des combats en cage, qui ajoute désormais un autre titre peu reluisant à son palmarès, celui des combats de rue.

 

 

 

Moumni s’est empressé ce matin de démentir son arrestation en promettant, du haut de son mensonge, de divulguer les faits. « Le Canada n’est pas le Maroc », a-t-il cru savoir. Autant dire qu’il se croit tout permis dans ce pays… y compris et surtout l’agression contre des femmes, quelle lâcheté!  

 

 

 

 

 

 

Moumni, qui a obtenu le statut de « réfugié politique » en 2017 au Canada, ne nie toutefois pas l’agression envers ses compatriotes dont le « tort », paraît-il, est d’aimer simplement leur Roi. De quel droit et du haut de quelle irresponsabilité s’est-il alors autorisé cette offense à la liberté d’autrui, pour ne pas parler de sa trahison à la Nation?

Cette attitude irresponsable contraste de manière flagrante avec ses slogans droit-de-l’hommistes. Il ne peut revendiquer la liberté pour soi et la nier aux autres… Son forfait ne doit donc pas rester impuni.

Les autorités canadiennes sont appelées à prendre leurs responsabilités.