UNE VISION BIAISÉE DU DROIT INTERNATIONAL: ALGER ET SA CRÉATURE LE POLISARIO MARCHENT SUR LA TÊTE!

Avec ses médias de propagande archéo-stalinienne (sahara press service, algérie press service et les quotidiens algérois de la haine anti-marocaine), la dictature militaire a déversé un tombereau d’accusations, de critiques et quasiment d’insultes contre le Conseil de Sécurité, l’ONU, le Maroc et les pays africains qui ont ouvert des consulats généraux à Laâyoune et Dakhla.

La cause en est le briefing du Conseil de Sécurité de jeudi dernier. Il a été exploité « à mort » par Alger pour faire aussi oublier sa désastreuse actualité interne.

S/t Le polisario un « service déconcentré » de la junte algérienne

Une première depuis la création de l’ONU. Une « dictature militaire » arriérée et son service déconcentré appelé le polisario – donnent des instructions sur « ce que doit faire  » ou « ne doit pas faire » le Conseil de Sécurité.

Morceaux choisis du communiqué écrit, évidemment, par une plume algérienne dissimulée sous « sahara press service » :

« Le Conseil de sécurité n’a pas envoyé aujourd’hui un signal clair »;  » Le Conseil a opté pour l’inaction et n’a produit aucune action ni résultat concret »; « Les consultations d’aujourd’hui ont offert au Conseil une nouvelle occasion de soutenir fermement le droit international »; « Le Conseil de sécurité n’a rien fait pour réactiver le processus »; « Le Conseil de sécurité n’a rien fait pour empêcher le Maroc »; Le Maroc est « effronté, déstabilisateur et provocateur… » etc.etc.

Alger et ses « sandalos » du polisario gesticulent et donnent des leçons à la planète. La Prusse de Bismarck était plus modeste!!

Le même communiqué a fait « triomphalement » référence à un  » tweet » publié, bien longtemps après le briefing, par la mission russe auprès des Nations unies, sur « l’autodétermination ».

Tant mieux si un « tweet » peut soulager! Rappelons que le droit international a intégré depuis très longtemps le fait que  » l’autonomie » est une une forme moderne de  » l’autodétermination  » et s’inscrit parfaitement dans les critères de la bonne gouvernance démocratique.

S/t Le polisario une  » nakira » qui traite « d’entités » des pays africains souverains et enracinés sans l’Histoire

La perle du communiqué:  » Le Conseil de sécurité est resté aux côtés du Maroc pour l’ouverture illégale de soi-disant « consulats » par des entités étrangères ».

Alger et sa « nakira » qualifient le Sénégal, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Gabon,… qui sont l’Âme profonde et belle de l’Afrique… « d’entités ».

Des fulminations marquées par une insupportable connotation néo-coloniale et raciste. Une honte!!

Le continent africain est excédé par Alger qui, depuis plus de 40 ans et sans relâche, pollue, infeste, assiège et harcèle les institutions africaines, européennes et onusiennes par un « dossier prioritaire et cardinal  » pour une junte de vieillards campée et vissée sur une haine stupéfiante contre un voisin.

S/t. Une vision biaisée et erronée du « droit international »

Le dérèglement est total à Alger. Elle ne veut pas comprendre que tout « ce que fait », « ne fait pas » ou « ne veut pas faire » le Conseil de Sécurité relève ou s’inscrit dans le « droit international » dont les sources sont très diverses.

Le Conseil a rejeté par le silence et l’ignorance la demande algérienne. Les Consulats, c’est une affaire bilatérale entre le Maroc et des pays souverains.

Et si le Conseil selon Alger  » est resté aux côtés du Maroc »… et bien là aussi, c’est du « droit international » !

Le « droit international » n’est pas un « truc » à la carte. Alger se servant de ce qu’elle veut selon son agenda ou ses caprices.

Par exemple, le recensement, enregistrement ou identification des populations séquestrées à Tindouf, demande répétée plusieurs fois par l’ONU, c’est du « droit international ». Alger sabote et n’en veut pas!

On ne connaîtra donc jamais ce fameux « corps électoral » supposé participer à un soi-disant référendum… devenu ainsi une démarche irréalisable, impossible et désormais caduque…

Le « droit international », c’est aussi une  » une solution mutuellement acceptable »… Cette notion a fait évaporer le rêve algérien. Elle ne gêne absolument pas le Maroc qui est déjà maître sur le terrain.

Le droit international a plusieurs sources. Plus que d’autres champs juridiques, il est très mouvant, évolue, s’adapte et tient compte de toute nouvelle donnée… ou nouveau facteur.

Avant de prendre ses décisions, le Conseil de Sécurité examine, réfléchit, discute, interprète, analyse… Et bien-entendu, il est au fait des motivations profondes de la dictature algérienne.

Une junte dont tous les choix ont conduit l’Algérie au naufrage actuel. Une junte qui insulte l’intelligence des Nations, en essayant de  » vendre » que pour le « seul » dossier du Sahara (par miracle !!) son approche serait morale, irréprochable, bonne et vertueuse. Alors que l’ incurie est totale!

Aucun pays sur la planète (sauf les États voyous: l’Iran des mollahs et la Syrie de Assad) n’accorde du crédit à de supposées convictions humanistes… droits-de-l’hommiste… ou démocratiques de cette dictature qui règle par la violence, le feu et le sang les affaires de son propre peuple.