
L’ancien leader du parti d’extrême gauche espagnol Podemos, Pablo Iglesias, s’est manifesté via son « Canal ReD » (Canal RougE) pour inciter la milice terroriste séparatiste « polisario » à « reprendre les armes » contre le Maroc. Commentant la résolution 2797 confirmant l’ancrage international du Plan marocain d’autonomie pour le Sahara, et balayant d’un revers de manche la thèse séparatiste prônée par Alger, il s’est répandu en imprécations contre l’ONU, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et l’Espagne, dont le « délit », semble-t-il, est de s’être rangé simplement du côté de la légitimité historique et juridique du Maroc sur ses provinces sahariennes, poussant l’outrecuidance jusqu’à appeler la milice à la solde de la junte algérienne à relancer ses actes terroristes contre le Royaume.
Juan Carlos I, en nombre de Franco, traicionó a los saharauis. Ahora son el PSOE desde el gobierno español, la UE y la ONU a propuesta de Estados Unidos, Francia y Reino Unido los que van a oficializar la misma traición.https://t.co/kuRHjJu2XG pic.twitter.com/8qSgp898B2
— Pablo Iglesias 🔻{R} (@PabloIglesias) November 7, 2025
Cette grave dérive n’est ni fortuite ni accidentelle. Elle est « dictée » par le régime des caporaux finissant, auquel Pablo Iglesias, toute honte bue, a accepté de servir de relais, prenant à rebours la position même de son pays et de l’ONU dont les deux tiers soutiennent expressément le Plan d’autonomie sous souveraineté marocaine.
Cette dérive appelle une riposte judiciaire pour prévenir la propagation de discours de haine et de violence. Il s’agit bel et bien d’une incitation à la violence armée, potentiellement constitutive d’apologie du terrorisme selon certains experts en droit espagnol et international.





