J’avais la faiblesse de croire que certains « médias » allaient se rendre à l’évidence du grand mal qu’ils ont fait non seulement à la famille du défunt Rayan, mais à toutes celles et à tous ceux qui ont suivi la « couverture » du drame de Chefchaouen. Une « couverture » qui a fini par dénuder des pratiques pour le moins dégoûtantes.
Je ne parlerai ni de déontologie ni d’éthique. Deux mots dont on se gargarise et que j’ai du mal à repérer dans ce que d’aucuns commettent dans les faits.
Seul le dégoût émerge. Le pire, dans cette séquence, est qu’on a l’air de verser dans les constats, sans bouger l’ombre d’un petit doigt pour arrêter les massacres. Et au rythme où vont « les choses », rien ne semble indiquer qu’on s’en sortira de si peu !