Maroc-Algérie: Quand la junte fonce (à pleins gaz!) dans le mur

Ironie du sort, l’Algérie a coupé le gaz au Maroc le jour où elle commémore l’anniversaire du déclenchement de la Révolution anti-colonialiste (1er novembre 1954). Une manière donc de renvoyer au Maroc l’ascenseur de ses inestimables sacrifices pour la libération du peuple algérien frère.

L’Algérie paie d’ingratitude le bien que lui a fait le Maroc.

Mais passons, car au moment où la machine à cash du régime cleptocrate, -la Sona-trash!-, fermait le robinet de Hassi R’mel, le champagne coulait à flot au Club des Pins, QG algérois de la mafia vert-kaki. Histoire de narguer « l’Moghrib » qui, faute de gaz et d’électricité qui en découle, plongerait aujourd’hui dans l’obscurité totale!

Pauvre de nous, nous voilà renvoyés pile à l’époque lointaine des lampes à pétrole, que sais-je encore, l’âge du silex et des lames de fer!

Avec cette énième décision hostile, il semblerait que le régime ait brûlé tous ses vaisseaux ou presque.

Vous avez bien lu: PRESQUE.

La boucle est donc loin d’être bouclée. Alors? Que reste-il à ce régime des « cartes » qu’il n’ait déjà abattues pour « punir » « l’Marok »?

Un, provoquer des incendies tout au long de la frontière terrestre commune (1559 km) pour tenter de nous pomper l’oxygène; Deux, trafiquer les nuages pour empêcher la pluie de tomber au Maroc; Trois, détourner la trajectoire du Soleil pour qu’il ne brille plus sur le Maroc; Quatre, changer la direction des courants maritimes vers des contrées lointaines du Maroc; Cinq, élargir davantage le trou d’ozone pour aggraver le stress hydrique…

Voyez, Madame, la liste est loin d’être close, en tout cas pas assez que l’imagination débridée, de surcroît déjantée, du régime de Mickey qui ne jure que par le Maroc, n’existe que par rapport au Maroc, ne réfléchit que par rapport au Maroc…

Ma foi, il n’y a pas de mots assez forts pour décrire cette fixation pathologique sur le Maroc, devenu la mauvaise conscience d’un régime biberonné à la haine et à la rancune.

Une chose reste pourtant sûre: Dans les proportions et au rythme de l’hystérie galonnée, il est certain que l’Algérie fonce droit (et à pleins gaz!) dans le mur. 

Au secours!