Les partis gèrent les egos ?

Le vendredi 8 octobre est à quelques jours. Voire à quelques heures. Le temps « court » et les partis politiques représentés au parlement, notamment à la Chambre des députés, sont dans une course contre la montre.

En fait, ils ont un agenda assez plein. Puisque la semaine qui commence devrait être consacrée pour la mise sur pieds des différentes structures de la première Chambre. A commencer par la présidence des groupes et groupements parlementaire, les présidents des Commissions, le bureau de la Chambre et la personnalité qui devrait occuper le perchoir. Tout un programme !

Sur ce front, le RNI aurait été le premier à régler un aspect. Sans surprise, Rachid Talbi Alami, ancien ministre et ancien détenteur du perchoir, aurait été installé chef du groupe parlementaire. Pour les deux autres formations de la majorité constituée, PAM et PI, l’on s’attendrait à du nouveau ou à une confirmation, à croire les rumeurs qui circulent.

Quand on prend son temps, c’est qu’il doit y avoir des quêtes d’équilibre en interne !

S’agissant des partis de l’opposition, on n’en sait presque rien. La partie serait rude. Dans les cuisines internes, comme pour les présidences des deux Commissions dont les présidences devraient revenir à l’opposition.

Fort probablement, ces formations seraient en passe de gérer les tournants. Ne pas être dans la majorité réduisant, de facto, les marges de manœuvre des directoires.

C’est à croire que le landerneau politique est sur les pupitres de l’apprentissage permanent.